Alléger ses cotisations quand on est indépendantCéline, 42 ans
Céline est sophrologue installée en libéral depuis un peu plus de 5 ans, dans une petite ville en périphérie de Montpellier. Elle exerce en entreprise individuelle et travaille seule, principalement avec une clientèle locale.
Son activité fonctionne bien, mais elle a souvent le sentiment de payer beaucoup de charges sans toujours comprendre pourquoi. Elle n’a ni expert-comptable, ni véritable conseiller pour l’épauler dans ses choix administratifs ou fiscaux.
Contexte
Lorsque Céline nous a contactés, elle venait de clôturer une année particulièrement intense, avec un chiffre d’affaires de 48 000 €.
Elle avait été surprise par le montant de ses cotisations sociales URSSAF, et ne comprenait pas pourquoi elle n’arrivait pas à mettre autant de côté que prévu.
Elle nous a confié se sentir un peu piégée dans un statut “par défaut”, avec une impression de subir son système fiscal sans vraiment le maîtriser.
Elle ne savait pas :
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Si elle était dans le bon régime,
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Si d’autres options pouvaient lui permettre de payer moins de charges,
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Ni vers qui se tourner pour faire le point, sans se sentir jugée ou poussée à acheter un service.
Solutions
Dès le premier contact, notre objectif a été de vulgariser sa situation sans jugement, et de lui permettre de comprendre où elle en était fiscalement.
Grâce à notre questionnaire simplifié pour les indépendants, nous avons pu établir un diagnostic de base : Céline avait dépassé les seuils du régime micro depuis plusieurs mois, ce qui limitait ses possibilités de déductions réelles.
Nous avons :
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Présenté de manière claire les différences entre le régime micro et la déclaration contrôlée, avec des exemples chiffrés,
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Nous lui avons ensuite présenté, à titre informatif, plusieurs statuts existants dans le cadre d’une activité indépendante (micro-BNC, déclaration contrôlée, société type SASU), sans émettre de recommandation.
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Proposé une mise en relation avec un expert-comptable indépendant, spécialisé dans les professions libérales.
Tout cela s’est fait à son rythme, sans obligation ni contrat. Céline a pu poser toutes ses questions et bénéficier d’un premier échange gratuit avec le professionnel recommandé.
Résultats
Céline a finalement choisi de créer une SASU à l’IS, avec une gestion plus flexible de sa rémunération.
Grâce à ce changement :
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Elle a pu optimiser ses charges sociales tout en se versant une rémunération stable,
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Elle a ouvert un plan retraite complémentaire adapté à son statut,
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Elle a mis en place un suivi comptable plus clair, avec des tableaux simples de suivi de trésorerie.
Selon son comptable, l’économie globale estimée sur la première année est d’environ 1 800 €, tout en améliorant sa protection sociale et sa visibilité à moyen terme.
Mais au-delà des chiffres, Céline nous a dit s’être sentie mieux armée pour piloter son activité. Elle n’a plus cette sensation d’être seule face à l’URSSAF ou aux règles de son statut.
