Mieux comprendre sa fiscalité en tant que jeune auto-entrepreneureEmilie, 29 ans
Émilie s’est lancée récemment en tant que coach bien-être, en adoptant le statut d’auto-entrepreneure (micro-entreprise). Installée à Bordeaux, elle exerce seule, avec des revenus en croissance. C’était sa première année en activité indépendante, et elle n’avait jamais eu à gérer de déclarations fiscales ou sociales auparavant.
Contexte
Émilie nous a contactés après quelques mois d’activité, car elle se sentait perdue face aux démarches administratives. Elle ne savait pas :
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quelles charges elle devait anticiper (URSSAF, impôt, CFE…),
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à quoi servaient les différentes déclarations qu’elle recevait,
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ni si elle devait consulter un comptable, ou si tout pouvait se faire seule.
Elle avait tenté de se renseigner via des groupes Facebook et des vidéos YouTube, mais plus elle lisait, plus elle se sentait dépassée. Elle cherchait surtout une vue d’ensemble claire, sans discours technique ni engagement forcé.
Solutions
À partir de notre questionnaire pour les indépendants, nous avons pu mieux comprendre la situation d’Émilie :
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un chiffre d’affaires modeste mais en développement,
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une absence totale d’accompagnement jusqu’ici,
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et une forte envie de bien faire… sans savoir par où commencer.
Nous lui avons présenté, de manière structurée et pédagogique :
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les grandes étapes du fonctionnement de la micro-entreprise (régime fiscal, cotisations sociales, CFE, TVA, etc.),
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les seuils à connaître pour éviter les mauvaises surprises,
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les principales différences avec d’autres statuts possibles (sans émettre de conseil ou de recommandation),
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les limites de l’auto-gestion quand l’activité se développe.
Émilie a ensuite été mise en relation avec un cabinet comptable partenaire, spécialisé dans l’accompagnement des indépendants.
L’objectif était qu’elle puisse poser ses questions à un professionnel agréé et recevoir un accompagnement adapté à sa situation.
Résultats
Émilie a poursuivi son activité en auto-entreprise, mais avec une bien meilleure compréhension de ses obligations, des échéances, et des choix qui s’offraient à elle à moyen terme. Grâce au cabinet comptable recommandé, elle a :
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mis en place un suivi mensuel de ses déclarations,
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anticipé le passage à la TVA dès l’année suivante,
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et évité plusieurs erreurs courantes chez les débutants (notamment liées à la CFE et aux déclarations sociales).
Elle nous a remerciés pour la clarté des échanges et le sentiment de ne plus être seule face à l’administration.
